1. |
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Belle nuit, ô nuit d'amour,
Souris à nos ivresses !
Nuit plus douce que le jour !
O belle nuit d'amour !
Le temps fuit et sans retour
Emporte nos tendresses ;
Loin de cet heureux séjour
Le temps fuit sans retour !
Zéphyrs embrasés.
Versez-nous vos caresses !
Zéphyrs embrasés.
Donnez-nous vos baisers !
Belle nuit, ô nuit d'amour,
Souris à nos ivresses !
Nuit plus douce que le jour !
O belle nuit d'amour !
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2. |
Lakmé Flower Duet, ALYS
01:06
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Lakmé: Dôme épais le jasmin
Mallika: Sous le dôme épais où le blanc jasmin
L.: À la rose s'assemble,
M.: À la rose s'assemble,
L.: Rive en fleurs, frais matin,
M.: Sur la rive en fleurs, riant au matin,
L.: Nous appellent ensemble.
M.: Viens, descendons ensemble.
L.: Ah! glissons en suivant
M.: Doucement glissons; De son flot charmant
L.: Le courant fuyant;
M.: Suivons le courant fuyant;
L.: Dans l'onde frémissante,
M.: Dans l’onde frémissante,
L.: D'une main nonchalante,
M.: D’une main nonchalante,
L.: Gagnons le bord,
M.: Viens, gagnons le bord
L.: Où l'oiseau chante,
M.: Où la source dort.
L.: l'oiseau, l'oiseau chante.
M.: Et l’oiseau, l’oiseau chante.
L.: Dôme épais, blanc jasmin,
M.: Sous le dôme épais, Sous le blanc jasmin,
L.: Nous appellent ensemble!
M.: Ah! descendons ensemble!
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3. |
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L'amour est un oiseau rebelle
Que nul ne peut apprivoiser,
Et c'est bien en vain qu'on l'appelle,
S'il lui convient de refuser.
Rien n'y fait, menace ou prière,
L'un parle bien, l'autre se tait,
Et c'est l'autre que je préfère,
Il n'a rien dit, mais il me plaît.
(L'amour est un oiseau rebelle) L'amour !
(Que nul ne peut apprivoiser,) L'amour !
(Et c'est bien en vain qu'on l'appelle,) L'amour !
(S'il lui convient de refuser.) L'amour !
L'amour est enfant de bohème,
Il n'a jamais, jamais connu de loi,
Si tu ne m'aimes pas, je t'aime,
Si je t'aime, prends garde à toi ! (Prends garde à toi !)
Si tu ne m'aimes pas,
Si tu ne m'aimes pas, je t'aime ! (Prends garde à toi !)
Mais si je t'aime, si je t'aime,
Prends garde à toi !
(L'amour est enfant de bohème,)
(Il n'a jamais, jamais connu de loi,)
(Si tu ne m'aimes pas, je t'aime,)
(Si je t'aime, prends garde à toi !) (Prends garde à toi !)
Si tu ne m'aimes pas,
Si tu ne m'aimes pas, je t'aime ! (Prends garde à toi !)
Mais si je t'aime, si je t'aime,
Prends garde à toi! (Ah, toi !)
L'oiseau que tu croyais surprendre
Battit de l'aile et s'envola,
L'amour est loin, tu peux l'attendre;
Tu ne l'attends plus, il est là !
Tout autour de toi, vite, vite,
Il vient, s'en va, puis il revient,
Tu crois le tenir, il t'évite,
Tu crois l'éviter, il te tient !
(Tout autour de toi, vite, vite,) L'amour !
(Il vient, s'en va, puis il revient,) L'amour !
(Tu crois le tenir, il t'évite,) L'amour !
(Tu crois l'éviter, il te tient !) L'amour !
L'amour est enfant de bohème,
Il n'a jamais, jamais connu de loi,
Si tu ne m'aimes pas, je t'aime,
Si je t'aime, prends garde à toi ! (Prends garde à toi !)
Si tu ne m'aimes pas,
Si tu ne m'aimes pas, je t'aime ! (Prends garde à toi !)
Mais si je t'aime, si je t'aime,
Prends garde à toi !
(L'amour est enfant de bohème,)
(Il n'a jamais, jamais connu de loi,)
(Si tu ne m'aimes pas, je t'aime,)
(Si je t'aime, prends garde à toi !) (Prends garde à toi !)
Si tu ne m'aimes pas,
Si tu ne m'aimes pas, je t'aime ! (Prends garde à toi !)
Mais si je t'aime, si je t'aime,
Prends garde à toi ! (Ah, toi !)
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4. |
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Nadir: Au fond du temple saint
paré de fleurs et d'or,
Une femme apparaît !
Zurga: Une femme apparaît !
N: Je crois la voir encore !
Z: Je crois la voir encore !
N: La foule prosternée
La regarde, étonnée,
Et murmure tout bas :
Voyez, c'est la déesse
Qui dans l'ombre se dresse,
Et vers nous tend les bras !
Zurga: Son voile se soulève !
Ô vision ! ô rêve !
La foule est à genoux !
Both: Oui, c'est elle !
C'est la déesse
Plus charmante et plus belle !
Oui, c'est elle !
C'est la déesse
Qui descend parmi nous !
Son voile se soulève
Et la foule est à genoux !
N: Mais à travers la foule
Elle s'ouvre un passage !
Z: Son long voile déjà
Nous cache son visage !
N: Mon regard, hélas !
La cherche en vain !
(recitative omitted, skip to chorus)
Both: Oui, c'est elle ! C'est la déesse !
En ce jour qui vient nous unir,
Et fidèle à ma promesse,
Comme un frère je veux te chérir !
C'est elle, c'est la déesse
Qui vient en ce jour nous unir !
Oui, partageons le même sort,
Soyons unis jusqu'à la mort !
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5. |
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Les oiseaux dans la charmille
Dans les cieux l'astre du jour,
Tout parle à la jeune fille d'amour!
Ah! Voilà la chanson gentille
La chanson d'Olympia! Ah!
Tout ce qui chante et résonne
Et soupire, tour à tour,
Emeut son coeur qui frissonne d'amour!
Ah! Voilà la chanson mignonne
La chanson d'Olympia! Ah!
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jimjiminy Trondheim, Norway
I make covers of classical vocal music using Vocaloid and Alter/Ego. I'm also on YouTube (bit.ly/32FSrqd) and Niconico (bit.ly/2OKezHQ).
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